Le mois de sa remémoration s’est écoulé sommes-nous dignes d’espérer sa rencontre ? – Sahar Al-Khateb
Chaque année, la Communauté (Oumma) islamique célèbre la commémoration de l’heureuse venue au monde du Prophète Muhammad, paix et salut sur lui. Cette année, 1446 correspond à l’année grégorienne 2024, nous commémorons cette occasion tandis qu’une partie de la communauté, paix et bénédictions sur lui, subit un anéantissement barbare et brutal, au grand jour et en pleine nuit, sans relâche ni pitié, sans honte ni fatigue, sans condamnation ni réprobation, sans menace ni promesse de sanction, et même sans aucune allusion à une quelconque punition. Lui, paix sur lui, est celui qui clamera au Jour du Jugement en intercédant en sa faveur : « Ô Ma communauté, Ô ma communauté », cherchant son secours et son salut. Si lui, paix et bénédictions sur lui, dont le rang est élevé, la beauté est splendeur et la ligne de conduite est magnanimité, plaide pour sa communauté au Jour du Jugement, comment pourrions-nous, en abandonnant une partie de sa communauté, victime d’extermination, de captivité, de torture, de famine et d’exil, espérer mériter son intercession et obtenir sa proximité ?
D’un bout à l’autre du monde, de Jakarta à Rabat, en passant par divers pays, la communauté islamique et l’humanité toute entière se tiennent impuissantes, la tête baissée, les ailes brisées, dans une spumosité (état écumeux), sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Une spumosité[1] qui donne la nausée, avec une attente interminable et l’habitude de voir la destruction, le meurtre, la torture, la famine et l’exode depuis douze mois de bombardements sauvages et d’anéantissement aveugle qui frappent Gaza et son peuple en direct. Une spumosité qui a encouragé l’occupant détraqué à attaquer brutalement et sans vergogne un État souverain voisin durant ce mois, sans la moindre considération.
Le Prophète Muhammad, paix et salut sur lui, avait décrit cette spumosité dans un hadith rapporté par Sunan Abu Daoud et l’imam Ahmad, où Thawban – qu’Allah soit satisfait de lui – a dit : « Le Prophète – paix et bénédictions sur lui – a dit : “Le temps est proche ou les communautés s’associeront et se mettront autour de vous tel des gourmands voraces autour de leurs plat de service, Quelqu’un demanda : “Sommes-nous peu nombreux ce jour-là ?” Il répondit : “Non, vous serez nombreux ce jour-là, mais vous serez comme l’écume du torrent fort, et Allah retirera de la poitrine de vos ennemis la crainte à votre égard et jettera dans vos cœurs l’apathie.” Quelqu’un demanda : “Qu’est ce l’apathie ?” Il répondit : “L’amour de ce bas monde et l’aversion envers la mort.” »
C’est la prédiction du Prophète Muhammad, paix sur lui, concernant la communauté. Bien que le nombre des musulmans soit grand, leurs cœurs sont atteints d’apathie, de lâcheté et de perte d’orientation, le cœur étant le centre de la résistance et de la vigilance, la source de la constance, de la maîtrise de soi et du courage.
Cette spumosité qui distingue la communauté islamique, bien que celle-ci soit nombreuse et bien dotée de ressources, ne disparaîtra que lorsque ses causes seront combattues et ses effets éradiqués. Qu’est-ce que cette spumosité ? Quels en sont les aspects ? Et comment peut-on la vaincre et retrouver la qualité distinctive de magnanimité[2] (khayriyya)?
Cette spumosité, caractère de l’écume, désigne ce qui flotte à la surface de l’eau, que le courant emporte comme les débris, les branches d’arbres et les plantes en décomposition. C’est ainsi que se présente la réalité de la majorité des musulmans aujourd’hui : occupés par leurs propres intérêts, absorbés par les plaisirs et les désirs, ce qui a mené à leur humiliation et à leur servilité. L’une des caractéristiques de l’écume est qu’elle suit le courant, qui, par nature, est un flux puissant, contrôlant le chemin de l’écume et la faisant céder à ses ordres. Ainsi, l’écume n’a pas d’autre choix que de se soumettre et de suivre le courant. C’est le cas des musulmans aujourd’hui : un sentiment de faiblesse, de peur, et parfois même d’éblouissement qui engendrent une subordination honteuse, une servilité indigne, une moutonnerie humiliante et une tendance excessive à la consommation qui mène à un fort enthousiasme pour ce bas monde et à la peur de perdre ses plaisirs. Ils n’ont plus aucun contrôle sur leurs richesses ou leurs décisions, devenant otages des intérêts coloniaux et des visées impérialistes.
Le Prophète – paix et salut sur lui – a décrit comment la situation des musulmans, malgré leur nombre, se transformerait en humiliation et en servilité, n’ayant plus aucune valeur aux yeux des maîtres de ce monde, consommant ce que leurs maîtres produisent pour eux, mangeant ce qu’ils cultivent pour eux.
Cette spumosité a conduit à réduire l’Islam pour beaucoup de gens d’aujourd’hui à un simple slogan identitaire, distinguant le musulman du non-musulman, sans qu’il ne reste de son essence que son nom et de ses objectifs que sa forme. Les sacralités ont été violées, les femmes ont été capturées, les honneurs bafoués, les bâtiments détruits sur leurs habitants, les personnes déplacées, les corps démembrés, et personne pour les dénoncer par la parole ou les aider par l’action. Cette spumosité découle de l’apathie mentionnée dans la prédiction de notre messager véridique et digne de confiance, béni soit-il.
Qu’est-ce que cette apathie et en quoi diffère-t-elle de la simple faiblesse physique ? L’apathie, dans ce contexte, est lorsque l’individu agit comme un faible alors qu’il est fort en lui-même. Cela peut se traduire par de la lâcheté après le courage, de l’indifférence après la détermination, de la paresse après l’enthousiasme, ou un désarroi après une assurance. C’est la réalité de la communauté : bien que nombreuse et riche, elle souffre grandement de cette apathie.
L’apathie est une action de l’homme, tandis que la simple faiblesse peut être une disposition naturelle créée par Allah, qui crée également la force. L’une des raisons d’apathie est la léthargie du cœur à être déterminé à lutter, et de là il développe une préférence pour la paix et l’armistice pour éviter le combat, assouvissant un désir pour ce bas-monde.
Ce phénomène a des causes et des conséquences, comme mentionné dans le hadith ci-dessus : les deux causes principales sont la perte de la crainte que les ennemis avaient autrefois des musulmans, malgré leur grand nombre, et l’apathie projetée dans le cœur des musulmans. La crainte n’a été enlevée qu’après que l’apathie ait été projetée.
Les raisons de cette apathie se résument ainsi:
- La foi faisant défaut, alors qu’elle est source de fierté et de refus de la servilité.
- Le fort enthousiasme pour ce bas monde, l’attachement à celui-ci et à ses désirs et plaisirs, menant à une apathie du cœur. D’où la réponse du prophète, béni soit-il, à propos de l’apathie, il dit : « L’amour de ce bas monde et l’aversion envers la mort. »
- L’aversion envers la mort et l’avidité pour la vie, quelle qu’elle soit, même enrobée d’humiliation, et revêtue de servilité. C’est l’une des caractéristiques que partageaient servilement les descendants d’Israël, et qu’Allah décrit dans le Coran : « Vous les trouverez avides de vie plus que quiconque. » [Al-Baqara /la vache : 96].
- Les disputes et les divisions sont une cause puissante de l’apathie et de la désunion au sein de la communauté. C’est pourquoi les ennemis se sont toujours appliqués à diviser la communauté, à créer des nationalismes et à semer la discorde entre les différents groupes et factions.
- Une mauvaise éducation inculquant la soumission, l’acceptation de l’apathie, de la subordination et de l’asservissement.
- Un sentiment de désespoir face à la réalité amère que vit la communauté, un sentiment qui génère l’inertie des bonnes résolutions et la faiblesse des bonnes volontés.
- La compagnie de défaitistes et l’écoute des âmes vacillantes, décourageant les volontés et affaiblissant les déterminés.
Ces causes et motifs de l’apathie étant ainsi bien détaillés, qu’en est-il de ses répercussions ?
Cette apathie a des répercussions catastrophiques tant sur l’individu que sur la communauté telles que :
- La colère et l’inimitié d’Allah, Glorifié soit-Il et de Son Prophète, paix sur lui.
- La domination tyrannique de l’ennemi et l’humiliation des musulmans, avec pillage systématique de leurs richesses et violation de leurs sacralités.
- Manque du sens de l’honneur dans le cœur, minimisant l’importance des transgressions, des violences et des abus.
En somme, l’apathie ne mène qu’à la désintégration, l’éclatement et l’effondrement, à des générations dispersées, et à des dirigeants en désaccord. Sa conséquence n’est que terre ruinée, plantations et progénitures détruites. Certes, il en va de soi que tous ces effets néfastes sont du fait des actes maléfiques des gens, en raison de la domination tyrannique des oppresseurs.
Ainsi, lorsque les cœurs ont été envahis par l’enthousiasme envers ce bas-monde et l’aversion envers la mort – ce qui est en réalité de l’apathie, comme l’a défini le sauveur de l’humanité, que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – la communauté islamique ou Oumma est alors devenue vulnérable à la spumosité, la menant vers des crises interminables et des épreuves intenses. Cette spumosité l’a plongé dans un torrent tumultueux dont on ignore l’issue.
Si nous ne parvenons pas à nous défaire de cette apathie, que nous voyons clairement et honteusement depuis un an avec le début du « génocide »[3] à Gaza, en scrutant malheureusement l’agression en direct des vies, de l’honneur, des biens, et de la santé mentale des musulmans avec l’aide, le financement et l’armement de ceux qui prétendent défendre les droits de l’homme, avons-nous alors, en tant que musulmans, le droit de mériter l’intercession du Prophète, que la paix soit sur lui, de demeurer à ses côtés, et de boire de sa main bénie ?
C’est, à mes yeux, une rétribution impossible et non méritée. Si nous souhaitons être dignes de cette élection divine et ne pas gâcher ces précieuses opportunités de l’au-delà, nous devons déraciner cette apathie ainsi que ses causes afin que la communauté islamique mérite à nouveau son caractère de « meilleure communauté » ou de « Oumma de magnanimité ».
La voie droite est celle du Messager d’Allah, que la paix soit sur lui, qui repose sur des principes fondamentaux non négociables et ne pouvant être omis par inadvertance. Elle est résumée comme suit :
- La vérité doit primer, en actes et en paroles, face à la fausseté afin de restreindre l’influence des imposteurs, car le mal prospère quand le bien garde le silence. Le Prophète a dit : « Que nul d’entre vous ne soit empêché par la crainte des autres de dire la vérité s’il en est témoin ou en a la preuve ; car cela n’approche ni n’éloigne la date fixée de la mort ni ne diminue les moyens de subsistance, de dire une vérité ou rappeler un fait majeur. » (rapporté par Abu Saïd al-Khudri).
En effet, le Messager d’Allah (paix et salut d’Allah sur lui) a dit : « Que nul parmi vous ne se sous-estime. » Ils dirent : « Ô Messager d’Allah, comment l’un de nous pourrait-il se sous-estimer ? » Il répondit : « Il voit une chose en laquelle il a le devoir de parler au nom d’Allah, mais il s’abstient de le faire. Alors Allah, le Tout-Puissant, lui demandera le Jour de la Résurrection : “Qu’est-ce qui t’a empêché de dire cela en Mon Nom ?” Il répondra : “La crainte des gens.” Et Allah lui dira : “C’est Moi que tu aurais dû craindre le plus.” »
(Rapporté par Abu Saïd al-Khudri, validé par Chouaïb al-Arnaout dans la vérification de « Siyar A’lām an-Nubalā »)
- Rejet du compromis pour prôner la religion: ce phénomène néfaste n’est pas récent, il est ancré et a été employé par ceux qui prônent le mensonge. Les mécréants, aux premiers temps de l’islam, tentèrent de corrompre la voie du Prophète, mais Allah l’a averti de leurs plans. Ils lui dirent, « Ô Mohammed, nous adorerons ton Allah un jour, et tu adoreras nos dieux un autre jour. » La réponse divine fut sans appel : aucun compromis n’est possible sur les vérités et principes fondamentaux.
(Rapporté par Abu Saïd al-Khudri, validé par Chouaïb al-Arnaout dans la vérification de « Siyar A’lām an-Nubalā / Biographies des noms des nobles»)
Pour cet objectif, il est impératif d’activer la doctrine d’allégeance et de désaveu (al walae wa al barae), de raviver son approche et de lui redonner son éclat afin que la complaisance ne devienne pas une religion par laquelle on cherche l’agrément d’Allah. Plus que jamais, la communauté a besoin d’ancrer cette doctrine dans les actions tout en l’assimilant sur le plan conceptuel et doctrinal. Le boycott des produits et services soutenant l’occupation et le génocide n’est qu’une application pratique de la doctrine d’allégeance et de désaveu (al walae wa al barae).
- Faire preuve de courage et de résilience contre la lâcheté et l’avarice. Le juge ‘Iyad (Al-qady ‘Iyad) a dit :
“Le Prophète صلى الله عليه وسلم a également cherché refuge auprès d’Allah pour le protéger contre la lâcheté et l’avarice, car celles-ci conduisent à la négligence des devoirs, au manquement aux droits d’Allah, comme la sévérité envers les pécheurs, la réprobation des maux, et l’acquittement des droits liés aux biens. Par le courage de l’âme modérée, justice est rendue, l’opprimé obtient soutien et aide, et par la générosité, les droits financiers sont honorés, les nécessiteux reçoivent réconfort et aide et les personnes en détresse reçoivent ce qui leur est dû en termes d’assistance et de pourvoi aux besoins.”
(Kamal Al-Mu’allim bi Fawa’id Muslim – 8/205) (Al-qady ‘Iyad)
Et la lâcheté est une caractéristique des hypocrites : “…ils sont avares envers vous ; quand la peur survient, tu les vois te regarder, leurs yeux tournoyant comme celui qui s’évanouit à l’approche de la mort.” (Les Coalisés, 33:19). - La constance irréversible vis-à-vis des notions et concepts, sans les soumettre aux désirs et aux intérêts. Le Prophète صلى الله عليه وسلم a dit : “Viendra un temps où celui qui s’accroche à sa religion sera comme celui qui tient une braise en main” (rapporté par At-Tirmidhi). Qui peut tenir une braise en main ? C’est pour cela que le Prophète a annoncé que ceux qui restent constants en ces temps difficiles auront la récompense de cinquante compagnons. “Viendront des jours de patience, où celui qui s’accroche à votre voie aura la récompense de cinquante parmi vous.” (Silsilat al-Ahadith as-Sahihah / série des hadiths authentiques).
La voie droite ne permet à personne de grimper sur les épaules des méritants par la trahison déguisée en vertus. Une telle ascension conduit le traître à offrir ses frères en sacrifice aux oppresseurs, permettant à ces derniers de les tuer, de les expulser, de les affamer, tout en restant spectateur, reprenant les accusations lancées par les oppresseurs contre les opprimés sans défense, mains levées vers le ciel, invoquant et priant leur Seigneur, la seule arme en leur possession: l’invocation et dou’ae car c’est l’arme la plus puissante des opprimés.
La voie droite optimale oblige également à renoncer à toute forme d’opportunisme. Le croyant ne suit pas la foule aveuglément, faisant le bien si les gens font le bien, et le mal si les gens font le mal, cherchant la sécurité dans une vie sans foi, sans dignité ni humanité. Ibn Mas’oud, qu’Allah soit satisfait de lui, a dit : “Sois un savant ou un apprenant, mais ne sois pas quelqu’un qui suit sans discernement.” Et il a également dit : “Que personne parmi vous ne soit influencé par la foule, disant : ‘Je suis avec les gens ; s’ils suivent le bon chemin, je le suis, et s’ils s’égarent, je m’égare.’ Non, que chacun s’engage à ne pas dévier, même si les autres dévient.”
Il est donc essentiel d’adopter Al-ihssane (optimum) comme mode de vie, même dans les circonstances les plus difficiles. Gaza et ses habitants nous en donnent l’exemple chaque jour, avec les décombres, le sang, et leur ténacité, incarnant le modèle de la patience, du courage, de la libération et de l’amour de la patrie. Cela a fait de Gaza un centre d’attraction et de conversion en nombre inédit des gens à l’Islam.
Cette voie droite optimale contredit l’esprit de capitulation qui accompagne l’apathie, plaçant la personne hors de la sélection divine, la poussant dans la masse des insignifiants. Si nous aspirons à la proximité du Prophète صلى الله عليه وسلم. Il est absolument illicite de nous capituler à l’ennemi ou coopérer avec lui alors qu’il s’attaque à notre foi, notre honneur, notre terre et nos biens, et plus que cela la gratitude lui est exprimée et l’aide lui est apportée en guise de remerciement pour l’agression, l’occupation et le génocide.
En l’absence de force, de clarté d’intention et d’engagement envers la doctrine de l’allégeance et du désaveu, il est presque impossible pour les âmes en position de faiblesse de songer à des options géostratégiques valables. De telles positions pourraient éviter une confrontation militaire, préserver des vies, et sauver tant soit peu la dignité. Des options géostratégiques comme le soutien de la résistance, l’introduction des aides alimentaires et médicales à Gaza sans souci de la réaction de l’ennemi, le gel des relations avec les alliés des agresseurs ou les menacer par la suspension des partenariats commerciaux avec ceux qui soutiennent l’oppresseur tyrannique.
Les options qui atténueraient notre apathie et spumosité sont nombreuses si l’intention fut sincère, et elles pourraient même permettre, ne serait-ce que de façon très restreinte, de suivre la voie droite optimale, menant ainsi à l’élection et la magnanimité qu’Allah réserva à la communauté musulmane : “Vous êtes la meilleure communauté suscitée pour les hommes ; vous ordonnez le bien, interdisez le mal et croyez en Allah.” (Al-Imran, 110).
Il est clair qu’il n’existe qu’une seule voie pour sortir de l’apathie qui mène à la spumosité : une seule voie optimale bien claire : suivre le chemin des pieux avec sincérité, le chemin du salut, avec consécration exclusive des paroles et actes à Allah seul, en conformité avec la voie du Prophète صلى الله عليه وسلم , et non selon les désirs et les plaisirs. Cela rendra certainement le croyant, engagé dans la sphère de la voie droite, digne de la satisfaction d’Allah ainsi que de la proximité et de l’intercession du meilleur des hommes, notre messager bien-aimé صلى الله عليه وسلم le jour où ni richesse ni descendance ne seront d’aucune aide ou utilité.
Références :
- Le concept d’apathie dans le Coran | Maqam Ma’a Allah (Rang de la Compagnie d’Allah.
- Ghuthai’at al-Ummah/ spumosité de la Oumma: Causes et Traitement | Islamway
- Causes et Effets de l’apathie | Dorar.net
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[1] Spumosité : Caractère, aspect de ce qui est spumeux, au sens figuré un Ramassis d’individus vils et méprisables.
[2] Magnanimité : Vertu poussant à agir, de façon désintéressée et au mépris du danger, pour réaliser ou incarner un idéal. C’est l’équivalent de « meilleure communauté » ou « khayra Oumma ».
[3] Même le terme génocide ne suffit plus à décrire ce que fait l’occupant détraqué à Gaza. Un nouveau terme est nécessaire.